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 I'm what i'am [Aaron <3]

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Abigaïl Wiston
When you can live forever
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Abigaïl Wiston



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MessageSujet: I'm what i'am [Aaron <3]   I'm what i'am [Aaron <3] Icon_minitimeSam 20 Sep - 21:43

    Journée disons merdique pour Abigaïl. Un levé atroce. Un déjeuné atroce. Une douche atroce. En clair une journée atroce.
    On aurait pu croire que la journée d’une artiste c’est le paradis, qu’on se lève à 11h30 avec un petit-déjeuner au lit et qu’on nous chouchoute toutes la journée. Non loin de là.
    Et puis même si cela avait été le cas, Abigaïl n’en n’aurait pas voulu.
    Malgré ce job dit facile de mannequin, elle était restée la même. Idiote sur les bords, égocentrique, persévérante. Elle n’avait pas changé. Heureusement ou malheureusement. Tout dépend de quel point de vu on voit les choses.
    Aujourd’hui Abigaïl n’avait pas beaucoup de boulot, juste une séance de photo pour je ne sais trop quelle marque dont elle se fichait royalement. De toute façon se retrouver en couverture de ce magazine-là ou de celui-là, elle s’en fichait bien, l’importance c’était l’argent. Le reste qu’importe.
    C’était une belle chance que la séance photo se déroule l’après-midi, ainsi elle aurait toute la matinée à glander et faire ce qu’elle veut, de plus que les photos le matin, c’est pas son truc, on a souvent très mauvaise mine.
    La belle brune resta assise sur son lit en bataille pendant quelques instants. Elle n’avait ni envie de déjeuner, ni de se laver et encore moins de s’habiller.
    Elle prit donc son carnet et commença à écrire ce qui lui passa par la tête

    « Adieu Paradis perdu. Nous abandonnons quelque chose que nous n’avons jamais eu. »

    Adieu Paradis perdu … Nous nous dirons aurevoir, Paradis perdu. Abigaïl. Abi était peut-être un peu perdue au milieu de nulle part. Perdue dans quelque chose qu’elle n’a jamais eue. Et si c’était là qu’elle voulait être. Et si, toujours le « et si » Et si j’avais été belle, et s’il m’aimait et si. Allait-elle un jour vivre sans ce « Et si » pour cela il faudrait abandonner ce Paradis perdu. Chose que nous n’avons jamais eue. Jamais. Le mot de jamais, elle le détestait autant qu’elle détestait le mot toujours. Les deux étaient l’impossible pour elle. Aujourd’hui, elle devait abandonner un nouvel espoir. Un paradis. Nous laissons tout derrière nous. Tout. Qui sommes-nous ? Un proverbe africain dit : Si tu ne sais plus d’où tu vas, arrête-toi et demande-toi d’où tu viens. 
D’où elle venait ? de loin. De très loin. Elle n’avait pas non plus franchi les mers et les océans.
    Soudainement, Abigaïl se leva et tira brutalement les rideaux de sa chambre. Qu’est ce qu’elle faisait là ? Dans cette chambre, dans cette hôtel, dans ce pays. Elle n’était pas à sa place. Mais alors où était sa place. Loin. Si loin qu’elle ne serait même plus vous dire ou est sa place. Peut-être qu’en fait nous n’avons pas de place précise. Nous sommes sur un jeu géant. On nous déplace, on nous déplace jusqu’à la fin. Puis on se retrouve face à un roi, et voilà nous sommes hors-jeu. Hors-jeu, impossible de savoir si Abigaïl était hors-jeu, une chose était sûre, la place qu’elle occupe sur cet échec est loin d’être la plus idéale.
    Vers 14 heures, Abigaïl sortit enfin de l’hôtel. Cheveux en bataille, cernes sous les yeux, yeux brillants, tenue négligée. Elle n’avait aucune raison de faire un effort aujourd’hui, alors pourquoi en ferait-elle ?
    Elle s’avança vers un taxi, les paroles de you’re beautiful dans les oreilles.
    Cette chanson l’aimait-elle ? Bonne question. Peut-être.
    Tout dépend des moments. Tout dépend de tout.


    You're beautiful, it's true.
    There must be an angel with a smile on her face,
    When she thought up that I should be with you.
    But it's time to face the truth,
    I will never be with you.


    Et effet, jamais elle ne sera avec lui. Jamais.
    * Tu sais soeurette , quand j’ouvre les yeux je ne vois que noir, j’ai beau essayer de regarder, je ne vois que noir, que néant. Je suis si vide. J’ai beau rire, sortir et tout, en fait je ne sais pas si je suis heureux. Le bonheur… L’homme n’en entrevoit que des apparences, celle qui essaie de lui donner le voisin. On envie toujours quelqu’un, on croit toujours que quelqu’un est supérieur à nous. Le bonheur n’est qu’une illusion optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l’infini. N’essayez pas de remonter à l’image d’origine, il n’y en a pas.
    Ne dites pas que le bonheur est éphémère. Le bonheur n’est pas éphémère. Le sentiment ressenti est pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c’est le sursis avant de comprendre l’erreur : l’être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien. Cela ne vous pas malheureux mais conscient. Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie.
    ( Crédit Lolita Pille - Hell )
    Mon bonheur ? Qu’est il devenu ? Je ne peux pas dire que je suis malheureux. Mais je ne suis pas non plus heureux. Je suis …
    Qu’importe. Vivons.
    Comme on dit : On sait comme vivre reste à savoir pourquoi. *

    Après cette séance photo qui dura plus longtemps que prévue. Abigaïl rentra enfin à l’hôtel, et à sa grande surprise elle n’était pas fatiguée. Pas du tout.
    D’un côté, la séance photo avait si génial que tout c’était passé si vite.
    Notre belle brune monta les marches de l’escalier sans vraiment regarder ou elle marchait. Puis elle s’arrêta devant sa porte mais au moment d’enfoncer la clef dans la serrure, elle remarqua que la porte était entrouverte.
    Elle avait encore dû oublier de fermer la porte en partant ce matin. Cela commençait à être une habitude. Elle entra donc dans la chambre comme on entre dans un foutoir, et remarqua comme quelqu’un sur son lit. Attends non. Ce n’était pas sa chambre. Putain quelle idiote –‘

    « Désolée »

    Dit- elle en regardant de face le jeune homme. Elle avait l'air maligne dans la chambre d'un autre.



    POST U_C
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Aaron Wind
    Can't You see that ...I'm Crazy in Love ? <3

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MessageSujet: Re: I'm what i'am [Aaron <3]   I'm what i'am [Aaron <3] Icon_minitimeMer 24 Sep - 16:35


    * Je dors, je dors, je dors ! *

    C’est ce que notre cher Aaron se tuait à se répéter depuis maintenant dix bonnes minutes, allongé dans son lit, sa tête sous l’oreiller. Il espérait qu’en le pensant très fort, il réussirait à se rendormir & qu’il oublierait l’incident insignifiant de ce matin, qui lui a tout de même valut un réveil tout en douceur … Je vous explique. Revenons dix minutes en arrières, le jeune blondinet était tranquillement en train de dormir, emmitouflé dans sa couette, entre les bras de Morphée. Il était même en train de rêver ; de lui & Abigaïl. Sauf que dans ce rêve, ils n’étaient pas ensemble, ils venaient de rompre. Je le qualifierais donc plutôt d’un cauchemar, d’autant plus que dedans, Aby’ ressortait déjà avec quelqu’un d’autre ; mais son visage était comme flouté, toujours dans l’ombre & la pénombre, ce qui fait qu’on ne pouvait distinguer le nouveau partenaire de sa petite amie. Espérons que ce ne soit pas un rêve prémonitoire, prions. Toujours dans son rêve - en train de se morfondre sur son triste sort -, il fut bien vite réveillé par quelqu’un tambourinant à sa porte. Il soupira & retint un cri de colère. Il y a intérêt que ce soit une bonne raison, car Aaron peut-être de très mauvais poil, le matin, au réveil. Il bondit de son lit, s’enroula dans sa couette & se dirigea d’un pas nonchalant vers la porte de sa chambre. Il mit un certain temps avant de trouver la poignée & finit par l’actionner, pour que la porte s’ouvre, à moitié. Les yeux entrouverts, il aperçut les contours d’une personne, où plutôt d’un homme … Oui c’est ça, c’était un homme ayant environ la trentaine. Hein ? Aaron le dévisagea de haut en bas, manqua de tomber sur le côté – du au manque d’équilibre matinal - & finit par re-claquer la porte au nez du jeune homme, après que celui-ci se soit excusé puisqu’il s’était trompé de chambre. C’est bien sa veine tien. Grace à lui, Aaron n’a pas pu se rendormir & le voilà de mauvaise humeur pour la journée à venir. Youpi !

    Il soupira, ça ne servait à rien de se répéter en boucle qu’il dormait, puisqu’apparemment, ça ne marchait pas – loin de là. Il n’avait qu’une envie : retrouver cet homme & lui foutre son poing dans la tronche. Mais en tout bon gentlemen qui se respecte, Aaron sait se retenir – pas tout le temps, mais bon - & il fit preuve d’un effort surhumain pour ne pas courir à ses trousses dans les couloirs de l’hôtel. Ayant enfin remarqué que ça ne servait à rien de rester au lit quand on n’avait plus la capacité de dormir, notre blondinet se redressa, s’assied sur son lit & ouvrit un petit cahier noir, avant de prendre un des stylos posés sur sa table de chevet. Assis en tailleur, il se mit à écrire, d’une calligraphie propre & soignée. Qu’écrivait-il ? Ce qui lui passait par la tête & à ce moment précis, ça avait un lien avec la belle Abigaïl, surtout depuis cet étrange cauchemar qu’il avait fait. « Et si je venais à la perdre … » Voilà les premiers mots qui débutaient le commencement de son récit matinale. Il adorait écrire & ce, depuis tout petit. Ses profs antérieurs étaient d’ailleurs très étonnés lorsqu’ils lisaient les « œuvres » d’un si petit homme. Espérons que lorsqu’il publiera un livre, les lecteurs soient du même avis. Lorsqu’il écrivait, plus rien ne comptait autour de lui, il était comme enfermé dans sa bulle & toute trace de mauvaise humeur se dissipait, retrouvant bien vite son inspiration, sa joie de vivre & son amour pour l’écriture. Il ne voyait plus le temps défiler ; les secondes, les minutes, les heures … tout à la même échelle pour lui.

    Au bout d’un certain temps, il s’arrêta net, referma son cahier & plongea son regard par la fenêtre, complètement ailleurs. Il resta pendant je ne sais combien de temps à fixer la fenêtre, sans siller du regard, avant de se relever & d’aller prendre son portable. Il consulta l’heure : 13h12. Oula, il allait falloir qu’il s’active les miches là, parce qu’aujourd’hui, il avait prévu d’aller rendre une petite visite surprise à la plus belle. En espérant que ça lui fasse plaisir. Il se dirigea presque en courant vers la salle de bain, enleva l’unique vêtement qu’il portait lorsqu’il allait se coucher – un boxer noir - & alluma la douche. En attendant que l’eau chauffe, il jeta un rapide coup d’œil au miroir. Il était plutôt content du reflet que celui-ci lui renvoyait, car pour une fois il n’avait pas de cernes, il était plutôt pas mal rasé & le pire dans tout ça : ça faisait déjà un bon bout de temps qu’il n’avait plus ramené une fille d’un soir chez lui. Record à battre ? Espérons que ça dure. Il entra ensuite sous la douche, laissant l’eau chaude ruisseler sur son corps, fermant les yeux & se laissant submerger par l’odeur du gel douche. Il pouvait rester des heures dans son douche – bain – sans qu’il s’en lasse ; mais bon, là, il était pressé. Une fois douché, il alla s’habiller : un slim en jean, une chemise bleue – qu’il laisse bien évidemment ouverte – feront l’affaire aujourd’hui ! Il prit le nécessaire de survie, du genre portable, i-pod, portefeuille & compagnie, avant de fermer sa chambre à clef & de se rendre vers celle de sa petite amie. Oh, mais avant ça, il devait juste passer en coup de vent faire quelque chose, d’hyper important (a)

    Une fois arrivé devant la chambre de sa Juliette – bouquet de fleurs en main -, il s’aperçut que la porte était fermée. Zut, elle n’était pas là ! Il hésita pendant quelques secondes avant d’opter pour une solution plutôt simple : il allait l’attendre à l’intérieur, étant donné qu’il avait le double des clefs. Il ouvrit la porte, la referma soigneusement derrière lui & alluma la lumière. Il déposa le bouquet de fleurs sur le bureau & parcourut du regard la chambre de son amie. Elles étaient toutes quasiment identiques, il y avait juste la décoration qui pouvait varier- selon les gouts. Il s’assied sur le lit & entendit des bruits de pas dans le couloir … Surement Aby’ qui rentrait. Il eut la brillante idée de lui faire une surprise … dans le noir ! Il éteignit la lumière & s’assied sur le lit. Comme il l’avait prévu, c’était effectivement bien elle, puisqu’il entendit la porte s’ouvrir. Il sourit intérieurement, & d’autant plus lorsqu’il sentit sa présence sur le lit. Il ne bougea pas, attendant de voir si elle remarquerait sa présence un jour ou l’autre. Il eut bien vite sa réponse, en l’entendant crier haut & fort, tout en se ruant vers la lumière. Pff’, comme si on venait la violer, cambrioler ou autre … (a) Lorsqu’il croisa son regard, un large sourire naquit sur ses lèvres. Rien de tel pour le rendre heureux que de la voir. Il s’approcha d’elle doucement, ne la quittant pas du regard & une fois juste en face d’elle, l’enlaça tendrement à la taille. Il approcha ses lèvres de son oreille & prit la parole :

    « Je suis Aaron, ravie de faire votre connaissance charmante demoiselle ! J’avais l’envie pressante de revoir ma chérie ; j’espère que ça ne vous dérange pas ? »

    Il joignit ses paroles d’un tendre baiser dans le creux de son cou. Avant de s’éloigner quelque peu d’elle, la fixant en souriant.

    « Toujours aussi belle dis donc ! Alors dis-moi, t’as fait quoi de beau aujourd’hui ? J’tai pas trop manqué ? (a) »

    Il se passa une main dans les cheveux, tout en ajoutant :

    « Ah, au faite, j’me suis permis d’entrer ; j’espère que t’as rien à cacher ? Razz »

    { Merci encore =P }
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Abigaïl Wiston
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MessageSujet: Re: I'm what i'am [Aaron <3]   I'm what i'am [Aaron <3] Icon_minitimeMer 24 Sep - 18:10

  • En prenant l’échelle mondiale, combien de fille rêve de voir leur petit copain les attendre dans leur chambre avec un joli bouquet ? 30 0000 ? 10 000 ?
    Bien évidemment c’était une surprise pleine d’intension mais quand même, quelle peur bleue cette surprise lui avait fait. Ce n’était pas une mauvaise surprise mais tout de même, pourquoi avoir voulu l’attendre dans le noir sur son lit ? Hum question stupide, tout le monde sait très bien que quand un garçon vous offre des roses c’est en échange de quelque et très souvent ce quelque chose c’est vous.
    Bon voyons ça sous en meilleur angle, ça aurait pu être pire, il aurait très bien pu l’attendre nu dans la baignoire (a)
    Ou alors ça aurait pu être un fou furieux qui voulait la violer, ou alors ça aurait pu être Lucas qui voulait tout simplement faire une partie de carte avec elle, Ah non pas Lucas T.T Abigaïl préfère encore se faire violer plutôt que jouer aux cartes avec Lucas Appleby.
    Bon arrêtons d’imaginer le pire, et profitons plutôt de la surprise d’Aaron. Surprise que ne vaut que 14 sur 20. 5 /5 pour le garçon, 4 /5 pour les décors, 3/5 pour le cadeau et 2/5 pour l’idée de la surprise Oo’
    Enfin bref ( je sais pas quoi raconter ) Abigaïl regarda son petit ami qui affichait un sourire parfait tout content de sa surprise. Étrangement elle était vraiment contente de le voir, surtout après cette atroce journée. Heureusement qu’il était là, même si ses surprises ne sont pas toutes bonnes.

    Certains pourraient trouver ça bête qu’elle soit heureuse d’être là dans ses bras quand on sait ce qu’il se passe derrière.
    Mais ne vous fiez pas aux apparences. Personne ne connaît la fin alors ne dites pas qu’elle va partir avec l’un ou avec l’autre. Rien n’est joué d’avance, surtout après ce qui s’est passé cet après-midi.
    De plus quand ont réfléchi, pourquoi Abi devrait G, qu’a t’il de plus qu’Aaron ? Pas grand-chose, alors pourquoi faire tant d’histoire pour si peu.
    Pourquoi compliquer l’histoire, pourquoi prendre le risque de tout perdre, pourquoi pendre le risque de perdre plus qu’elle ne gagnera.
    Pourquoi … Pourquoi ? Qui question qui offre tant de possibilité, et pourtant si peu de réponse.
    Même si on ne l’aime pas en retour, Abi voulait aimer. Elle voulait aimer quelqu’un de fond du cœur. N’aimer que cette personne. C’est tout ce qu’il y a de plus simple. Alors pourquoi est-ce si compliqué ?
    C’est étrange mais plus on se débat plus on sombre vers le fond. L’être humain est bien futile …
    Si Abigaïl devait se réincarner, j’aimerais être un poisson, Aaron et elle nageraient ensemble loin de tous ces ennuis, loin de toute cette supercherie. Loin de ce monde qui ne fait qu’engendre la haine. Ensemble dans leur monde …

    Abribry regarda son « cher et tendre » s’approcher d’elle pour l’enlacer afin de déposer un léger baisé sur les délicates lèvres de notre belle brune comme il savait si bien le faire.
    Quand il déclara qu’il était Aaron, et qu’il ravis de faire sa connaissance
    Et qu’il voulait revoir sa chérie. Abigail ne pue s’empêcher de faire apparaître un petit sourire amusé. C’était une facette d’Aaron qu’elle adorait, ce petit côté drôle à tout bout de champ. Il lui arrivait parfois, rarement (a), d’être sérieux, mais elle aimait bien le voir raconter n’importe quoi, cela lui remontait toujours le moral.
    Comme si anêneries étaient magiques (L’


    « Aujourd’hui ? Je me suis levée, j’ai fait quelques photographies, je suis rentrée, j’ai vu Gabriel avec qui j’ai discuté quelques minutes, et puis je suis rentrée dans la chambre d’un inconnu et pour finir j’ai trouvé un inconnu dans ma chambre Razz Super journée n’est-ce pas ! Et le mieux dans tout ça c’est que j’avais presque oublié que j’avais un petit ami, À propos je me demande ce qu’il devient … »


    Déclara avec ironie. C’était une habitude chez eux. Raconter n’importe quoi. Elle pourrait lui dire qu’elle à couché avec X ou Y, il entrerait dans son délire sans même se poser de question.
    Alors que très peu de couple rigole avec ça, pour eux cela ne posait aucun problème.
    Ou du moins jusqu’à maintenant …
    Abigaïl le fixa en arquant l’arcade gauche et en prenant un air interrogatif comme si elle était sérieuse.
    Aaron continua son interrogatoire habituel elle lui demandant si elle avait quelque chose à cacher ? À part ses sentiments pour Gabriel Sawyer bien sûr …

    « Non c’est bon, à cette heure si mes amants sont tous partis !Razz »

    Di-elle en haussant les épaules avec un beau sourire. Un sourire qui se figea et qui se transforma en grimace quand le regard de la belle brune se posa sur le rideau rouge qui cachait la lumière du jour de la grande fenêtre centrale.
    Le regarda d’Aby se tourna vers Aaron à qui elle déclara avec un faux ton gêné comme elle savait si bien le faire.

    « Enfin je crois, il reste peut-être Eric derrière le rideau … »

    Bien que cela ne soit pas à mourir elle rigolait bien sûr, elle n’avait pas d’amant étant donné qu’elle trouve cela ridicule ainsi que les amitiés améliorées.
    Tout cela était pour elle sans importance, cela ne sert à rien. C’est génial de s’envoyer en l’air avec quelqu’un mais après ? Après rien. Tout s’arrête là. C’est ridicule.
    Notre belle brune s’allongea sur le vaste lit en soie en compagnie du bel Aaron.
    Elle aimait bien s’allonger sur ce lit, scruter le haut plafond tout en l’entendant respirer.
    Cette respiration si douce et si chaude qui se faisait sentir sûr son coup.

    « Et tu sais quoi ? Gabriel s’est trouvé une petite copine ! »

    Abigaïl avait besoin de parler de Gabriel. Après tout Aaron était bien le meilleur ami de ce dernier alors pourquoi ne pas lui en parler à lui, bien sûr il fallait éviter tout propos suspect et tout geste qui pourrait la tromper comme « ça doit être une salope » « il pourrait trouver mieux » « N’empêche qu’est-ce qu’il est beau Gaby » « Ah Gaby quel gentleman, si seulement tu pouvais être pareil ! »
    Avouons que cela serait bien dommage qu’Abribry face apparaître le peu de sentiment qu’elle avait pour le meilleur ami de son petit ami.
    De plus que maintenant qu’elle savait que Gabriel avait des vues sur une fille qui n’était pas elle, il n’y avait plus de raison de foutre en l’air son bel amour avec son « cher et tendre d’Aaron Wind »
    Si vous aviez le choix entre un garçon super avec qui vous filez et le parfait amour et entre le gentil meilleur ami de votre petit ami qui ignore totalement votre existence et qui ne ressent rien pour vous, Qui choisiriez-vous ? Le petit ami actuel ? && bien nous ne tarderons pas à savoir si vous avez choisi la bonne réponse.
    Abigaïl se redressa du lit et se mit à la califourchon sur le bel Aaron. Super position n’est-ce pas (a)
    Les cheveux de cette dernière tombant sur le visage si blanc et si clair de monsieur de Wind.
    Elle déposa un baiser sucré et délicat avant de continuer son histoire avec Gabriel.

    « Tu sais qui c’est ? N’empêche c’est une bonne nouvelle, ça aurait dommage qu’il reste célibataire toute sa vie T.T Il a intérêt à nous inviter au mariage >.< »

    C’est dernier propre mots résonnaient entre espoir et désespoir. Ses propres mots lui donnaient envie de vomir. Mariage – Gabriel – cette fille.
    Abigaïl regarda l’homme qu’elle aurait peut-être quitté s’il l’avait aimée …
    Tout cela est bien idiot – pensa t’elle en caressant le visage de cet homme avant de l’embrasser …

    Hj : Mais de rien, je suis génial jsais >.<
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Aaron Wind
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MessageSujet: Re: I'm what i'am [Aaron <3]   I'm what i'am [Aaron <3] Icon_minitimeDim 28 Sep - 12:03

    Il est vrai qu’Aaron n’avait pas toujours de superbes idées, enfin bon, allons droit au but : Aaron a souvent des idées foireuses. La dernière fois qu’il a voulu faire une fête surprise pour l’anniversaire d’un ami, il s’est trompé de jours. Une autre fois, il a voulu faire un gâteau pour Aby’. & oui, je vous voie venir là. Cuisine+Aaron= vrai carnage. Monsieur Wind ne sait pas cuisiner & ce n’est pas peu dire. Il sait à peine faire cuire des pâtes & du riz, réchauffé un plat surgelé, & alors, imaginez la mission impossible de faire un gâteau au chocolat. C’était plutôt comique de le voir se débattre avec la farine & les œufs pendant que le chocolat fondu coulait le long du comptoir. Résultat : il a finit en femme de ménage, à astiquer toute la cuisine. & le gâteau ? Haha, vous vous foutez du monde ? (a)

    Vous vous demandez ensuite certainement pourquoi il a choisi de faire sa surprise dans le noir, assis sur son lit ? Oh & bien, encore une idée sortant tout droit de l’imagination sur-débordante d’Aaron. Il voulait faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire … & bien c’était gagné puisqu’apparemment, Aby’ n’avait en aucun cas pensé qu’il puisse s’agir de son cher & tendre. A croire qu’elle ne voulait pas le voir ? Espérons que ses pensées soient fausses, car sinon tout n’irait pas pour le mieux dans le plus parfait des mondes. C’est évident, si une personne ne veut pas voir son petit ami éperdument amoureux, c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, non ? Oui, je pense aussi. Mais bon nous n’en sommes pas – encore – là …

    « & bien, je peux peut-être t’éclairer sur ce sujet … Ton petit ami s’est fait réveillé par le bruit du toc-toc contre sa porte, du coup, il n’a pas pu faire la grasse mat’ – dans son plus grand malheur -, il s’est remémoré un rêve plutôt étrange, a écrit pendant je ne sais combien de temps & a eut la merveilleuse idée de venir rendre une petite visite surprise à sa merveilleuse petite amie, en se faisant passer pour un pervers sexuel ; attendant dans le noir, que la belle rentre. »

    Il fit un large sourire, l’embrassant de nouveau tendrement, avant d’ajouter :

    « Oh, tu as vu Gabysh’ ! T’en a de la chance, ça fait un moment que je l’ai pas vu ! A croire qu’il me fuit comme la peste ?! Waouh ! J’ai encore une super idée ! Demain, je vais aller le réveiller tout en douceur … (a) Croie-moi, il s’en souviendra toute sa vie ! & puis après, je le forcerais à se lever, se laver, s’habiller & hop-là ! On passera la journée ensemble ; qu’il le veuille ou non … J’commence à être en manque de Bestounet moi. Razz »

    Il marqua un temps d’arrêt, avant de poursuivre, changeant littéralement de voie & tout en plongeant son regard – de braise ? – sur Aby’.

    « Tout comme je commence à être en manque d’affection (a) »

    Il sourit en coin en entendant sa petite blagounette sur ses amants. Il savait pertinemment que c’était faux & qu’elle ne ferait jamais quelque chose de tel. Lui, en revanche, avait été comme ça. Mais cette période de sa vie est résolue, enfin. Il arqua un sourcil en fixant le rideau :

    « Oh je voie, en plus ce n’est pas UN mais DES amants ! & bien dis donc chérie, tu ne fais pas les choses à moitié ! J’espère que tu prends ton pied. »

    Un clin d’œil se joignit à ses paroles, avant qu’il aille faire un tour du côté du rideau. Il s’arrêta juste en face & se retourna vers Aby’, un air taquin aux lèvres :

    « J’vais dire bonjour à Eric ! J’espère qu’il est beau au moins, pour que j’ai un minimum de concurrence … tongue »

    Il rejoignit sa petite amie sur le lit, allongé & fixant le plafond. Si vous saviez comme il aimait être à ses côtés, passer du temps avec elle, l’embrasser, l’aimer … Il était comme sur un petit nuage, mais ce n’était pas un rêve, c’était bien réel. Il fit des yeux tout ronds en entendant l’allusion à la pseudo petite amie de Gaby .. Vraiment ? Il aurait pu le prévenir quand même ; histoire qu’il lui donne son avis.

    « & bàh dis donc, t’es plus au courant que moi sur s’coup là ! Je le savais même pas … Mais ! Il aurait pu me prévenir le gros quand même … Si ça se trouve, elle ne le mérite même pas. Gabysh’ est bien trop parfait, il ne faut pas qu’il sorte avec la première venue. Il a intérêt à bien l’avoir choisi hein ; pas comme Purd’ a choisi l’autre abruti de Lucas. »

    Qu’avait-il contre Lucas ? & bien rien en particulier, si ce n’est le fait que c’était le nouvel petit ami de son ex. Non, il n’aimait plus Purd’ mais étant de nature très jalouse, il ne pouvait que détester son nouveau prétendant. Il pourrait apprendre à mieux le connaître, apprendre à être moins jaloux&possessif, il pourrait … mais là, l’envie n’est pas là. Son envie à l’instant présent, était tournée vers une toute autre personne, vers toute autre chose … Il fixa sa belle&tendre de son regard si bleu, tout en l’écoutant parler … Le mot mariage fit tilt dans sa tête. Tout de suite les grands mots ! Comme si son cher Bestounet allait se marier avec la première venue, avec qu’il venait à peine de se mettre en relation. Par contre, ce mot « mariage » faisait peur à Aaron. Enfin peur, allons-nous plutôt dire qu’il ne sait plus tellement où il en est, ce qu’il doit faire … Oui il aime Aby’, oui il veut l’épouser … MAIS elle, l’aime-t-elle au point de fonder sa vie avec lui ? L’aime-t-elle au point de se marier après seulement 9 mois ? L’aime-t-elle au point qu’il l’aime, lui ? Tant des questions sans réponses …

    « Héé mais du calme ! On dirait presque que t’en es jalouse x) Comme si Gaby’ allait se marier du jour au lendemain sans même nous inviter, comme si. J’suis sure qu’on serait même les témoins ; la classe hein ?! Razz »

    Aaron prolongea le baiser de sa bien aimée, tout en passant ses mains tout autour d’elle, les passant sous son top, caressant tendrement le bas de son dos nu. Agréable sensation que de sentir son corps contre le sien, ses lèvres contre les siennes, son souffle chaud contre le sien … Agréable sensation que d’être avec elle. Au bout d’un certain temps, il perdit son regard dans celui d’Aby’ … Oh oui, il voulait lui poser une question, une seule. Pour une fois, il ne serait pas le Aaron fou & bourré de conneries, mais il serait le Aaron sérieux & sincère. Il la fit basculer sur le côté, de sorte à ce que ce soit désormais lui au dessus d’elle. Il lui caressa du bout du pouce son visage, ses joues si douces & parfaites … Avant d’aller lui susurrer quelques mots à l’oreille :

    « & toi Abigaïl, qu’est ce que tu penses de … du mariage ?! »

    { Désolé pour le retard & ce post ... pourri. }
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Abigaïl Wiston
When you can live forever
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Abigaïl Wiston



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MessageSujet: Re: I'm what i'am [Aaron <3]   I'm what i'am [Aaron <3] Icon_minitimeDim 19 Oct - 15:26

  • Qu’il y a t’il de pire que de se faire réveiller par quelqu’un sous un prétexte aussi bidon que : « t’as pas vu mon collier ? » ou « Tu as rangé tes caleçons propres ? »
    C’est vrai, qu’il y a t’il de pire ? Vous êtes tranquillement entrain de rêver que vous êtes dans les bras de Legolas, le plus beau des elfes – ou que vous êtes entrain d’être élu roi des mangeurs de chocolat au lait - && soudain on vous demande « T’as rangé tes caleçons ? »
    Caleçons – chocolat – Legolas.
    Abigaïl imagina le levé d’Aaron qui devait être malencontreux et extrement pénible et douloureux pour un nounours-dormeur comme d’Aarounish.
    La simple idée de voir Aaron en pyjama, les cheveux blonds ébouriffé comme s’il y avait eu une bombe, ouvrir la porte pour n’y voir personne laissa apparaître un sourire amusé sur le visage d’Abigaïl. Elle aurait bien aimé assister à cette scène.

    Notre beau bond continua de raconter sa vie, ses malheureuses aventures, sa philosophie, et tout et tout. Vous serez bien étonné de savoir ce que peut dire Monsieur Wind dans une phrase …
    Puis il parla de Gabriel, le fait qu’il lui manquait, et que ce dernier l’évitait peut-être, et dans ce cas-là, pourquoi donc ? Peut-être que Gabysh’trouvait l’halène d’Aaron de mauvais goût ? Ah Ah Ah.
    Ou peut-être Gabriel était-il trop occupé à faire je ne sais pas trop quoi, je ne sais pas trop ou.
    L’idée de réveiller Gabriel tout en douceur pour passer une journée avec lui, fit sourire Abigaïl. Aaron et Gaby étaient vraiment proches, peut-être assez proche pour qu’elle puisse refouler ses sentiments naissant dans sa poitrine. Sentiment que si elle devait reveler lui ferait sûrement perdre plus qu’elle ne gagnera.
    Que le sort est bien mauvais. Joueur de nos vies, reprenant les vieux clichés dévasteur et sinistre de la bonne fille qui tombe sous le charme du meilleur ami de son petit ami.
    Que tout cela vire au pathétique. Un pathétique grossier et acre qui laisse un goût aussi amer dans votre bouche, que l’eau du monde ne suffirait pas à en faire passer le mauvais goût.
    Cette image de Gabriel et Aaron rire ensemble de tout et de rien, de se comprendre de manière aussi naturel que le fait de dire bonjour. Leur mutuelle connivence …
    Tout ce qu’elle pourrait briser en disant « je t’aime » à une seule personne.

    « L’idée en elle-même n’est pas mauvaise, mais le réveille en douceur me semble comme risqué. Il va peut-être croire, lui aussi, qu’un douteux pervers est entré dans sa chambre pour abuser de lui.
    D’un côté ça ne peut pas être pire qu’un que passer la journée en ta compagnie (a)
    Je pense que ça lui ferait plaisir de te voir, je suis même sûr qu’il t’amènera, avec plaisir, te faire épiler le torse Razz »


    Abigaïl le regarda dans ses petits yeux , puis il continua disant qu’il commençait aussi à manquer d’affection. Comme quoi, il n’en manquait pas une (a)

    « Tiens donc ?! Pourquoi cela ne m’ étonne t-il pas plus que ça (a) »

    Comme Abribry s’en doutait Aaron se prit sans problème au jeu des amants, preuve de la confiance qu’il accordait à notre belle brune, confiance qui allait bientôt lui jouer au beau tour.
    C’était quelque chose qu’elle aimait beaucoup chez Aaron, son côté libre et sans prise de tête.
    Il était quelqu’un de zen et drôle, le genre de personne avec qui vous aimez vous soulez sur la plage. Tous les deux étaient complémentaires, il la faisait rire, et elle lui apportait son sourire. C’est une sorte d’échange.

    « Qu’est-ce que tu croies, je ne fais jamais les choses à moitié. Avec moi c’est tout ou rien, et puis quand tu vois tous les garçons de l’hôtel, tu te dis que cela serait bien dommage de ne pas en profiter Razz »

    Elle avait bien raison, vu tous les garçons qui se baladaient dans les couloirs de l’hôtel, il fallait en profiter – de plus que comme ça ils se rendaient utiles.
    Vu tous les garçons qui se baladaient dans les couloirs de l’hôtel, pourquoi avoir craquer sur l’ inaccessible ?
    Notre belle brune s’allongea sur le vaste lit en soie en compagnie du bel Aaron.
    Elle aimait bien s’allonger sur ce lit, scruter le haut plafond tout en l’entendant respirer.
    Cette respiration si douce et si chaude qui se faisait sentir sur son coup.
    Quand Aaronish déclara avec son ironie habituelle de se calmer car on dirait presque- qu’elle est jalouse, elle ne pu s’empêcher de rougir. C’était malgré elle. Percé à jour, elle ne pouvait pas s’empêcher de rougir et de laisser son coeur battre en fanfare.

    « N’importe quoi ! Façon il fait ce qu’il veut, il peut se marier avec Paris Hilton, s’il est heureux c’est le principal (a)
    N’empêche je vois trop Gabysh en costard tout blanc au bras d’une belle blonde tout en déclarant un beau oui solennel»


    Abigaïl savait très bien qu’Aaron détestait lui aussi Lucas, je dis lui aussi, car Abigaïl n’était, elle non plus, pas vraiment éprisse d’une grande passion pour cet idiot de Lucas.
    Pour Aby ce dernier n’était bon qu’à jouer au poker, embrasser et dire des conneries. Notre belle brune ne pouvait pas s’empêcher de poser un regard critique sur son « beau-frère » 
Pourquoi le jugeait-elle sans même le connaître ? Que lui avait-il fait pour qu’elle soit à ce point sur la défensive ? 
Pourquoi cette méchanceté ? Pourquoi cette crainte. 
Lucas n’était pas un serial Killer, ni un bandit, ni même Mickeal Jackson version blanc. Alors pourquoi devait-elle être comme ça avec lui …
    Elle le détestait, et cela ne sert à rien de chercher le pourquoi du comment.

    Ils prolongèrent ce baiser si délicieux, il n’y avait rien à dire, Aaron embrassait comme un roi.
    Les mains de ce dernier montant sur ses omoplates si fines par rapport à lui.
    Les yeux brillants d’Abigaïl s’engloutirent dans ceux de cet être. Être qu’elle aimait malgré toute la contradiction que produisait son esprit. Ce cœur si triste et beau comme un grand reposoir, cette impression de valse mélancolique et langoureux vertige. Les paupières se ferment. À l’aveuglette elle reconstitue ses traits en les caressant doucement. Son nez. Ses yeux. Sa bouche, sa bouche … Leurs lèvres qui se touchent en un baiser indicible, si seulement elle savait elle-même se que voulait dire ce baiser, ce baiser qui se plongeait de manière intense.
    Ils étaient là, sur ce lit , les yeux fermés, leurs corps blottis l’un contre l’autre, leurs jambes entrelacées, les lèvres d’Aaron brûlant sur son coup, une main dans ses cheveux, l’autre enlevant les boutons de sa chemise ….
    Un semblant de fusion entre deux êtres.

    « & toi Abigaïl, qu’est ce que tu penses de … du mariage ?! »

    Plaîîît-il ? Ce qu’elle pensait du mariage. Abigaïl rouvrit brusquement les yeux. À vrai dire, elle ne cernait pas le sens de la question- qui pourtant se devait d’être simple.
    Ce qu’elle pensait du mariage ? C’est une question aussi étrange que les pourquoi.
    Que pouvait-elle répondre à cette question qui révélait des sous-entendus.
    Si elle répondait qu’elle trouvait ça magique, qu’allait-il répondre ? « Veux-tu m’épouser ? »
    Et s’il lui posait réellement cette question, que répondrait-elle ?
    Elle aurait sûrement répondu oui, si seulement il n’y avait pas Gabriel. D’accord rien n’était réciproque, mais tout de même, cela était peut-être une preuve que son amour pour Aaron n’était pas éternel.

    Prise en plein dépourvue que devait-elle dire, que devait-elle raconter, quel mensonge devait elle encore inventer.
    On dit qu’on n’a beau faire tous les justes choix, notre vie ne sera pas réussite pour autant.
    Que devait-elle choisir ? Le mensonge, la vérité, un mensonge plus proche de la vérité que du pur mensonge.
    Ne pas choisir c’est déjà choisir, alors quitte à faire un choix mieux vaut faire le bon.

    « Je pense que si deux êtres s’aiment vraiment de manière éternelle, il n’y a rien de mieux pour prouver leur amour au monde entier »

    Et toi, Aaron que penses- tu du divorce ? Razz

    « Mais pourquoi cette question ? Oo’ »


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